Habiter la métropole agri-urbaine Projets et réflexions à l'horizon 2050

Alain Guez est architecte-urbaniste, professeur habilité à diriger des recherches en Ville et Territoire. Il a enseigné dans différentes universités et facultés d'architecture dont l’École d’architecture de Nancy, le Politecnico di Milano, et aujourd'hui l’École d'architecture Paris-Malaquais. Ses recherches portent sur les chronotopies : approches, critiques et récits des conditions d'habitabilité de la Terre.

Directrice de l'École nationale supérieure d'architecture de Nancy

Directrice du GECT Alzette Belval

Alain Guez est architecte-urbaniste, professeur HDR en Ville et territoire. Il a enseigné dans différentes universités et facultés d'architecture, dont l'École d'architecture de Nancy, le Politecnico di Milano, et aujourd'hui l'École d'architecture Paris-Malaquais. Ses recherches portent sur les chronotopies : approches, critiques et récits des conditions d'habitabilité de la Terre.

Sandra Parvu est maître de conférences en géographie et paysage à l'ENSA Paris Val de Seine et chercheur au CRH-LAVUE.

Daniel Siemsglüss était responsable de l’Atelier préIBA Alzette Belval, cellule de recherche établie dans le cadre de l’étude de préfiguration et intégrée au GECT du même nom. En tant que professionnel d’urbanisme, il s’intéresse au sujet de la frontière, qu’il considère comme « matière à travailler avec ». En ce moment, il s’occupe du design des infrastructures ferroviaires.

Associé, agence TVK, Paris

Associé, agence TVK, Paris

Directeur de projet, agence TVK

Directeur de recherche, agence TVK, Paris

Directrice de projet, agence TVK, Paris

Marie-Aline Lamoureux, Carlos Aguilar Lopez et Florian Royer, architectes titulaires du diplôme d’État d’architecte à l'ENSA de Nancy, ont, dans le cadre de l’exercice de leur projet de fin d’études en 2021, formé une équipe et mis à contribution leurs sensibilités afin d'appréhender la complexité de la frontière franco-luxembourgeoise. De la France au Venezuela, du monde agricole et périurbain au territoire urbain dense, leurs origines, vécus et expériences variés s’entrecroisent dans cette réflexion mise à l'honneur au prix Stanislas et débattue aux conférences Seeds de la Fondation Braillard.

Marie-Aline Lamoureux, Carlos Aguilar Lopez et Florian Royer, architectes titulaires du diplôme d’État d’architecte à l'ENSA de Nancy, ont, dans le cadre de l’exercice de leur projet de fin d’études en 2021, formé une équipe et mis à contribution leurs sensibilités afin d'appréhender la complexité de la frontière franco-luxembourgeoise. De la France au Venezuela, du monde agricole et périurbain au territoire urbain dense, leurs origines, vécus et expériences variés s’entrecroisent dans cette réflexion mise à l'honneur au prix Stanislas et débattue aux conférences Seeds de la Fondation Braillard.

Marie-Aline Lamoureux, Carlos Aguilar Lopez et Florian Royer, architectes titulaires du diplôme d’État d’architecte à l'ENSA de Nancy, ont, dans le cadre de l’exercice de leur projet de fin d’études en 2021, formé une équipe et mis à contribution leurs sensibilités afin d'appréhender la complexité de la frontière franco-luxembourgeoise. De la France au Venezuela, du monde agricole et périurbain au territoire urbain dense, leurs origines, vécus et expériences variés s’entrecroisent dans cette réflexion mise à l'honneur au prix Stanislas et débattue aux conférences Seeds de la Fondation Braillard.

Gwenaëlle Zunino est architecte-urbaniste, maître de conférences associée dans le domaine Architecture, Villes, Territoires à l’École nationale supérieure d’architecture de Nancy où elle anime également la chaire partenariale d’enseignement et de recherche « Nouvelles ruralités – Architecture et milieux vivants ». Par ailleurs, elle est chargée de mission pour la transition écologique à la Fondation Braillard Architectes à Genève.

Gaëtan Haist est paysagiste-concepteur et urbaniste. Il est engagé dans la transformation des villes et des territoires en tant que praticien, paysagiste-conseil de l’État et enseignant-chercheur dans les Écoles nationales supérieures d’architecture. Il s’attache à développer une vision panoramique de la manière dont les démarches de projet s’organisent, s’imbriquent, se potentialisent ou se bloquent. Quel que soit le périmètre de réflexion, la question des spécificités de chaque territoire est centrale dans ses travaux.

Geoffroy Séré est professeur des universités, directeur adjoint du Laboratoire Sols et Environnement (Université de Lorraine / INRAE) et co-responsable de la spécialisation « Science et génie de l’environnement » de l’ENSAIA. Ingénieur géologue et docteur en sciences agronomiques, ses travaux de recherches portent d’une part sur les développements du génie pédologique pour requalifier des sols dégradés et d’autre part sur l’évaluation et l’optimisation des services écosystémiques rendus par les sols anthropisés.

Christophe Schwartz est professeur de pédologie urbaine à l’Université de Lorraine, ingénieur agronome et docteur en sciences agronomiques. Ses travaux de recherche conduits depuis 30 ans concernent l’étude de l’état, du fonctionnement, de l’évolution et de la restauration de la fonction de support de végétation des sols très anthropisés : pédogenèse et fonctionnement des sols urbains ; agronomie et agriculture urbaine ; génie pédologique ; restauration durable des sites et sols dégradés ; sols et stratégies d’aménagement.

Diplômée d'un Master en urbanisme et aménagement du territoire (Institut Français d'Urbanisme) et d'un Doctorat en Sciences du sol (Université de Lorraine), Anne Blanchart est présidente co-fondatrice de SOL &CO, bureau d'études qui accompagne les acteurs de l'aménagement dans la considération de la qualité fonctionnelle (agronomie, pédologie et écologie) des sols à l'échelle du projet urbain et de la planification territoriale.

Architecte de formation et docteur en architecture, Vincent Bradel est historien des formes urbaines. En tant qu’enseignant-chercheur à l’ENSAN au sein du LHAC, il a participé à la création du réseau inter-écoles « Espace rural, projet spatial » et à la création de la chaire « Nouvelles ruralités – Architecture et milieux vivants ». Ces derniers travaux de recherche portent sur l’histoire des villes et de l’urbanisme, la mutation des structures villageoises et la prise en compte de la biodiversité dans les processus de conception.