La recherche présentée dans cet ouvrage a été réalisée avec une trentaine de collégiens du collège Camille Claudel de Montreux-Château, en Territoire de Belfort, qui se sont engagés sur un chemin que personne n’avait jamais pris avant eux. Avec eux, nous avons dessiné pas à pas ce chemin, partageant nos curiosités, nos intuitions, nos outils, nos expériences. Nous leur adressons nos plus chaleureux remerciements, pour leur confiance et leur engagement. Nos premières pensées vont donc à chacun de vous : Alexandra Torres, Alexis Bey, Anaël Bouchina, Anaëlle Chabanier, Anaëlle Prassel, Carla Bouzrara, Célia Knur, Clothilde Courtot, Corentin Vienot, Farès Mokhefi, Inès Polidoro, Jade Schmidt, Kenzo Marmorat, Lauriane Hull, Laurine Gerardin, Léana Monin, Léandre Couchot, Lonys Sautron, Lubin Rizzon, Margaux L’huillier, Margaux Michaud, Pyerlin Sautron, Simon Kempf, Sorenza Bonnot, Steven Wintenberger, Thomas Schoffen, Tiffany Ledi, Tom Mougin, Yohan Wintenberger et Zoé Trible. Nous remercions également tout particulièrement leurs professeurs1 qui les ont accompagnés dans cette aventure : Fabienne Etienne, Olivier Corbont, rejoints ensuite par Laurent Salvador. Ce fut un immense plaisir de travailler avec vous, cette rencontre a été une chance tant sur le plan de la recherche que sur le plan humain. Nous sommes aussi très reconnaissantes envers Isabelle Mougin, principale du collège, qui a été à l’initiative de ce projet, et qui, tout au long de notre démarche, a apporté son soutien tant sur le plan pédagogique que logistique, et a su intégrer au sein de l’établissement un travail de recherche qui s’est déroulé sur plusieurs années et dont les résultats ne pouvaient être connus à l’avance. Nous remercions encore la professeure Aude Duvoid, qui a pris part au travail sur la constitution des classes, qui a découlé de la recherche commanditée par les collégiens. Enfin, nous remercions cordialement toute l’équipe pédagogique, chacun ayant à un moment ou un autre contribué au projet : l’ensemble des professeurs, les assistants d’éducation, le conseiller principal d’éducation, et les personnels administratifs.
Nous adressons également nos profonds remerciements à Benoit Dejaiffe, maître de conférences en sciences de l’éducation et de la formation à l’Université de Lorraine, pour sa collaboration avec Gaëlle Espinosa, autrice de cet ouvrage, lors de la réalisation de la récolte des données (et notamment la passation d’entretiens) et d’un premier travail d’analyse de ces données. Sans cette collaboration, il nous semble que cette récolte n’aurait simplement pas pu être effectuée. Son travail et sa présence ont clairement permis la poursuite de la recherche et la réalisation de cette récolte, l’existence de ce livre.
Nous remercions aussi Audrey Beilhartz qui a travaillé avec nous, en 2016-2017, en tant qu’étudiante, dans le cadre de son stage de master. Nous remercions encore Quentin Diemunsch et Mélanie Fonteneau qui, en tant qu’étudiants, également dans le cadre d’un stage en master en 2021-2022, ont participé à l’analyse des données récoltées. Nous remercions enfin Amandine Grand’Haye, doctorante qui, cette même année, par goût et curiosité pour la recherche, a également participé à cette analyse. L’ensemble de ces étudiants et doctorante l’étaient ou le sont en sciences de l’éducation et de la formation à l’Université de Lorraine à Nancy.
Une contribution invisible, mais néanmoins essentielle fut celle de Jean-Damien Collin, sans qui ce projet n’aurait pas vu le jour : c’est Jean-Damien qui a d’abord invité Isabelle Mougin, principale de l’établissement, à envisager de proposer un tel projet au sein de son établissement, et qui l’a ensuite mise en contact avec la médiatrice Claire Ribrault, co-autrice de cet ouvrage. Jean-Damien a ensuite suivi ce projet tout au long de son développement, et contribué à sa diffusion notamment dans le territoire en mobilisant les médias (radio, magazines). Nous remercions également l’ensemble des associés de l’Atelier des jours à venir, coopérative de recherche et d’enseignement dans laquelle travaillait alors Claire, pour les nombreuses réflexions menées au sein de la coopérative, et en particulier les collègues médiateurs Livio Riboli-Sasco et Maria Pothier pour leur partage d’expérience, leur regard critique et encourageant.
Ce projet a bénéficié du soutien de la Fondation de France. Sa présente publication a bénéficié du soutien financier du Pôle scientifique connaissance, langage, communication, sociétés (CLCS) de l’Université de Lorraine ainsi que du Laboratoire interuniversitaire des sciences de l’éducation et de la communication (LISEC) dont Gaëlle Espinosa est membre.