Violaine Appel est maîtresse de conférences en sciences de l’information et de la communication à l’Université de Lorraine et membre du Centre de recherche sur les médiations. Ses travaux portent sur les dispositifs communicationnels des organisations.
Frédéric Aubrun est docteur en sciences de l’information et de la communication et professeur assistant en marketing digital et communication à l’Inseec Lyon. Ses travaux portent principalement sur les métamorphoses du médiatique et du publicitaire, notamment la dissémination médiatique et culturelle de la marque dans une logique hypermoderne.
Alizée Bertetto est opératrice de production Registre parcellaire graphique à l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN), qu’elle a rejoint après un master 2 Géographie, aménagement, environnement et développement parcours Territoire, société et aménagement à Aix-Marseille Université, rattaché à l’unité mixte de recherche Temps, espaces, langages, Europe méridionale, Méditerranée (Aix-Marseille Université, CNRS). Elle s’intéresse spécifiquement aux politiques de développement durable et en particulier à la territorialisation des objectifs onusiens en la matière dans le bassin minier de Provence, espace naturel protégé triplement labellisé (parc naturel régional, géoparc et réserve de biosphère) et au fort passé minier et industriel.
Thomas Bihay est maître de conférences en sciences de l’information et de la communication à l’Université de Lille et membre du Groupe d’études et de recherche interdisciplinaire en information-communication. Ses travaux portent sur les politiques de reconfiguration du territoire local menées dans le contexte des industries créatives et au regard d’autres idéologies comme celles des villes « intelligente » et « résiliente ».
Élise Butel est doctorante en sciences de l’information et de la communication à l’Université Grenoble Alpes et membre du Groupe de recherche sur les enjeux de la communication. Ses travaux interrogent la manière dont certaines organisations culturelles mobilisent les dispositifs en ligne pour renforcer leur inscription dans les territoires.
Anne Cadoret est maîtresse de conférences en géographie à Aix-Marseille Université et membre de l’unité mixte de recherche Temps, espaces, langages, Europe méridionale, Méditerranée (Aix-Marseille Université, CNRS). Elle s’intéresse aux dynamiques territoriales liées à la mise en place de politiques de conservation de la biodiversité, aux rôles des interactions conflictuelles et des processus de concertation dans l’acceptation sociale d’aires protégées, plus particulièrement sur les littoraux soumis à de fortes pressions anthropiques.
Valentine Châtelet est docteure en histoire de l’art, qualifiée aux fonctions de maître de conférences en sciences de l’information et de la communication, chargée de valorisation de la recherche scientifique en sciences humaines et sociales à l’Université fédérale de Toulouse Midi-Pyrénées et membre associé au Laboratoire d’études et de recherches appliquées en sciences sociales (Université Toulouse III Paul-Sabatier). Ses recherches portent sur l’apport des technologies aux médiations culturelles et patrimoniales et notamment aux transferts de valeurs des champs scientifiques, culturels et patrimoniaux, à leurs formes et aux transformations qu’ils impliquent.
Sylvie Couralet est consultante indépendante depuis près de 20 ans, spécialisée dans la conception de projets de mise en valeur des patrimoines bâtis, naturels et immatériels et dans l’élaboration de stratégies et de politiques de développement des territoires par la culture et le tourisme, et membre associé au Laboratoire d’études et de recherches appliquées en sciences sociales (Université Toulouse III Paul-Sabatier). Elle intervient aussi dans différents établissements d’enseignement et de recherche tels l’Université Toulouse Jean-Jaurès, l’Institut universitaire de technologie Paul-Sabatier, Avignon Université et l’Institut national universitaire Champollion.
Patrick Fraysse est professeur des universités en sciences de l’information et de la communication à l’Université Toulouse III Paul-Sabatier et membre du Laboratoire d’études et de recherches appliquées en sciences sociales au sein duquel il co-anime l’axe « Patrimoines et médiations ». Ses travaux portent sur la réception et la circulation contemporaines de la notion de Moyen Âge et la médiation du patrimoine monumental et urbain. L’observation et l’analyse de dispositifs de médiation dans les musées et autres lieux de culture et leurs usages par les publics sont au cœur de son approche info-communicationnelle.
Patricia Jullia est maîtresse de conférences en sciences de l’information et de la communication à l’Université Paul-Valéry Montpellier 3 et chercheure au Laboratoire d’études et de recherches appliquées en sciences sociales (Université Toulouse III Paul-Sabatier). Ses recherches et enseignements portent sur les industries culturelles et créatives, les usages numériques et la communication publique, plus particulièrement sur les séries quotidiennes et leur rapport au territoire.
Delphine Le Nozach est maîtresse de conférences en sciences de l’information et de la communication à l’Université de Lorraine et membre du Centre de recherche sur les médiations. Ses travaux portent sur le placement de produits, le contenu de marque et les insertions publicitaires dans les médias.
Frédéric Marty est maître de conférences en sciences de l’information et de la communication à l’Université Paul-Valéry Montpellier 3 et membre du Laboratoire d’études et de recherches appliquées en sciences sociales (Université Toulouse III Paul-Sabatier). Ses recherches et enseignements portent sur la réception audiovisuelle des séries quotidiennes en contexte numérique notamment, l’expérience utilisateur et les narrations transmédiatiques.
David Michon est docteur en histoire et membre associé au Laboratoire d’études rurales (Université Lumière Lyon 2). Ses travaux portent sur le processus de mise en patrimoine (principalement agro-industriel, alimentaire et littéraire), notamment ses aboutissements, ses démarches de médiation et ses échecs, en mobilisant des approches horizontale, interactive et participative pour traiter un ensemble de médiations sociales et discursives historiquement situées. Ses terrains de recherche sont nationaux et internationaux.
Anne Parizot est professeure des universités en sciences de l’information et de la communication à l’Université de Franche-Comté et membre de l’unité de recherche Communications, médiations, organisations, savoirs (Université de Bourgogne). Ses travaux s’intéressent à la gastronomie, l’œnologie et la communication des organisations. Elle recherche particulièrement ce qui fait sens dans les stratégies communicationnelles en relevant les dimensions symboliques, identitaires ou patrimoniales. Elle relève, analyse et relie les interactions entre les éléments et les acteurs dans des espaces temporels et géographiques significatifs.
Daniel Raichvarg est professeur des universités émérite à l’Université de Bourgogne, membre de l’unité de recherche Communications, médiations, organisations, savoirs et président d’honneur de la Société française des sciences de l’information et de la communication. Ses travaux portent sur la vulgarisation des sciences et la communication scientifique. Il est missionné par l’Académie des sciences pour accompagner l’établissement public de coopération culturelle Terre de Louis Pasteur.
Simon Renoir est docteur en sciences de l’information et de la communication et membre du Laboratoire des sciences de l’information et de la communication (Université Sorbonne Paris Nord). Il travaille sur l’inscription territoriale des industries culturelles et créatives et leur rôle dans l’évolution de l’espace urbain, en s’intéressant particulièrement à la question des récits et des représentations médiatiques des territoires.
Jérémy Tourrette est doctorant en sciences de l’information et de la communication à l’Université de Lorraine et à l’Université libre de Bruxelles et membre du Centre de recherche sur les médiations (Université de Lorraine) et du Centre de recherche en information et communication (Université libre de Bruxelles). Dans le prolongement de ses travaux sur la production du nation branding écossais et sur sa réception par les Écossais en France au sein d’une migration intra-européenne de classe moyenne-supérieure, il prépare actuellement une thèse dont le titre provisoire est Classement, migration et réception : les Français à Bruxelles, les liens politiques nationaux et communaux.